La conseillère municipale Nathalie Boisclair continue de défendre bec et ongles les positions et les décisions de DASH-L au lieu de celles des citoyens qui l’ont élue. Également vice-présidente du conseil d’administration de DASH-L, elle est parfaitement d’accord avec l’expulsion à peine déguisée de la représentante du CAPA-L au sein du comité consultatif sur le climat sonore…

Sous son chapeau de présidente de l’arrondissement de Saint-Hubert, le secteur sans contredit le plus touché par les activités de l’aéroport, comment Nathalie Boisclair compte-t-elle à l’avenir protéger le peu de qualité de vie qui reste à ses citoyens? Parviendra-t-elle à influencer DASH-L afin qu’il adopte une politique interne sur les vols de nuit réclamée par les citoyens?